1941 – 6 octobre au 27 août 1942- Campagne au Maroc contre l’Allemagne


Permission à Fès du 31.12.1941 au 4.1.1942 inclus.

Permission à Fès du 5 au 10.4.1942 inclus

1940 – 11 décembre – Affecté au 6e Régiment de Tirailleur Marocains


Le 6e régiment de tirailleurs marocains (6e RTM) est un régiment d’infanterie de l’armée de terre française, formé de combattants recrutés au Maroc.

Il combat dans les années 1920 dans le Rif et en Syrie. Stationné en métropole à partir de 1928, il y disparaît en juin 1940 au début de la Seconde Guerre mondiale. Recréé dès la fin 1940, il participe à la reconquête alliée de l’Europe dans l’Armée française de la Libération. Revenu au Maroc en 1945, il envoie des bataillons de marche en Indochine. Dissous en 1956, il est brièvement recréé de 1960 à 1963 en Allemagne.

1940 – 1 août – Major de Garnison – Casablanca

Affecté à la CHR le 1 8 1940 Désigné pour occuper l’ ensemble de Major de garnison

A Casablanca Dom N°  6178 P/O n°  du général  de C.A commandant les troupes du Maroc du 25.8.1940.

Major de garnisonOfficier supérieur mis à la disposition du commandant d’armes d’une garnison importante pour organiser les services communs aux différents corps de la garnison, en surveiller l’exécution et veiller au maintien de la discipline en ville.


1940 – 20 juin – Adjoint au colonel Commandant de la subdivision

Assume les f.f d’adjoint au colonel Commandant la subdivision de Fès

Cesse le Commandant de la P.C de guerre le 1 8 1940.


1925 – 19 Janvier – Dirigé sur le Maroc et affecté au 15e Régiment de Tirailleurs – Affecté au commandement de la 7e compagnie.

Le 15e régiment de marche de tirailleurs algériens, est constitué fin novembre 1918 avec un seul bataillon de tirailleurs. Il est l’amalgame des trois bataillons du 288e R.I. qui formèrent les deux autres bataillons du régiment, la situation qui dura jusqu’à la fin de décembre date à laquelle le 15e RMTA reçut un millier de recrues indigènes. Il fut alors composé, au début de 1920, de trois bataillons. Il est basé au Maroc devient régiment autonome.
En 1925 à la bataille de l’Ouergha le 3e bataillon contient les assauts rifains.

1924 – 10 Septembre – Rapatrié et débarqué à Marseille et affecté au 158e RI

À la fin de la Première Guerre mondiale, le 158e R.I. est regroupé à Strasbourg. Il fait plusieurs déplacements de durée variable en Allemagne : quelques jours en avril 1920 ; du 10 mai à septembre 1921, en Rhénanie ; de janvier à avril 1923 au nord de Dusseldorf. Le 14 avril 1923, le 3e bataillon est dissous tandis que sont mis sur pied les 3e et 4e bataillons de mitrailleurs. Jusqu’en 1939, le 158e R.I. est en stationnement à Strasbourg. Un de ses bataillons est détaché à Mutzig3.
http://www.messageries-maritimes.org/andreche.htm
https://www.les-tirailleurs.fr/unites/liste

1923 – 23 Octobre – Affecté au 1er Bataillon du 41 RI – Detaché à l’état major de l’infanterie Divisionaire /2 – Levant

1922 – 20 Septembre – Affecté au 19e Régiment de tirailleurs Algérien

De 1920 à 1927, l’Afrique du Nord fourni la plupart des unités d’infanterie de l’armée du Levant. Les 17e, 18e, 19e, 21e, 22e, 27e, 31e/47e RTA constituent l’essentiel de son infanterie aux côtés des 16e, 20e et 36e RTT ainsi que des 65e et 66e RTM.

L’armée du Levant est l’ensemble des forces armées françaises en garnison au Levant (Asie occidentale) dans l’entre-deux-guerres jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, lorsque la défaite de l’Empire turc en 1918 a conduit les puissances victorieuses à se partager de larges pans de son territoire.

En 1920, les Français reçoivent un mandat de la Société des Nations sur la Syrie et le Liban. Pour maintenir l’ordre sur ces territoires, la France constitue une force armée, l’armée du Levant.

Constituée essentiellement par des unités de tirailleurs nord-africains de l’armée d’Afrique et dans une moindre mesure de tirailleurs sénégalais, l’armée du Levant est complétée par les troupes spéciales du Levant composées d’un personnel recruté localement.