1918 – 13 Août – Intoxiqué par gaz au bois de berne

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6344482h/f14.item.r=102E%20BATAILLON%20DE%20CHASSEURS%20%C3%8…
Le 18 juillet a marqué la fin de l’offensive allemande, la première étape de la marche vers la victoire. Dès le 9 août, le bataillon participe à l’attaque, derriere le 401e R.I. et est assez éprouvé par le barrages ennemis. Le 11, il est dans les bois de la Houssoye où il reste jusqu’au 16, après plusieurs déplacements provoqués par des ordres d’attaque contremandés. Le 16, il gagne le chateau de Tilloloy. L’attaque est fixé au 18. A 4h30, malgré le feu de vingt mitrailleuses, les chasseurs se porte en avant. l’élan est brisé, mais courageusement, lentement, par infiltration, le village de Beuvraignes est définitivement occupé à 7h20. Le bataillon y reste jusqu’au 22 août.

1918 – 5 juillet – affecté au 321e Régiment d’infanterie – Montdidier, Somme

Le 321ᵉ régiment d’infanterie est un régiment d’infanterie de l’Armée de terre française constitué en 1914 avec les bataillons de réserve du 121ᵉ régiment d’infanterie. À la mobilisation, chaque régiment d’active créé un régiment de réserve dont le numéro est le sien plus 200. 

Bataille de Montdidier La prise de Beuvraignes : Depuis la oontre-offensivte du 18 juillet, sur les plateaux entre Ourcq et Aisne, la Bataille de France était «, renversée » et le Oénérail Foch, instruit de la fatigue de l’adversaire, n’entendait lui accorder ni trêve ni repos. Dans l’attaque de la 3e Armée française déchaînée à la Droite de l’Armée Debenley, et montée avec le plus grandi secret, le ;Régun|ettt (avait un rôle difficile : il devait atteindre et enlever Beuvraignes (le bastion légendaire implanté dans les anciennes lignes françaises, à travers une zone couturée de tranchées, traversée de réseaux de fils de fer, et offrant des chances incomparables.

1918 – 24 Juin – Passé au 102e bataillon de chasseurs à pied

1918 – 11 Juin – blessé par éclats de balle (non évacué)

Plaies de la face et des mains par éclats de balle.
Le 2 juin, il est embarqué à Belfort pour La Ferté-sousJouarre. Il cantonne le 4 à Rutel, Avers et Molien. Le 11 il est à Cernoy, puis au bois de Montigny, en réserve, le 12 à Coivrel, le 14 à Neuville-Roy, le 19 à Maignelay. 
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6344482h/texteBrut

1917 – 23 Octobre – blessé par éclat d’obus – rejoint les armées 15 Février 1918

26 ans
Blessé par éclat d’obus dans la fesse droite.

Le bataillon, jusqu’au 27 octobre, cantonne à Wylder, Roussbrugge, Pollinchove, Wœsten, Nordschoote, La Chaussée, Coulogne, ou tient le secteur de Mangelaere.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6344482h/texteBrut

1917 – 5 Février – Passé à l’artillerie speciale – WYLDER, nord

26 ans
https://fr.wikipedia.org/wiki/Artillerie_spéciale

L’artillerie spéciale (en abrégé AS) est l’arme blindée de l’armée française pendant la Première Guerre mondiale. Elle est l’ancêtre de l’actuelle arme blindée et cavalerie. Créée en 1916 à l’initiative de Jean Baptiste Eugène Estienne, le « père des chars », elle sera par la suite rebaptisée « artillerie d’assaut ».

1916 – 7 Novembre – Citation a l’ordre de la division – Croix de guerre 14-18 avec étoile d’argent

Ordre N°60
 » Sous un violant bombardement, est allé organiser sa compagnie quoi qu’ayant à traverser un terrain découvert. Blessé pendant cette opération. Croix de guerre 14-18 avec étoile d’argent » 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Croix_de_guerre_1914-1918_(France)

1916 – 24 Oct – Blessé à Fleury-devant-Douaumont. reparti aux armées le 1 mars 1917

25 ans
Evacué, Forte commotion cérébrale, perforation des 2 tympans.

1916 – 25 Oct au 13 Août 1919 – Campagne contre l’Allemagne – Blessé.

Fleury-devant-Douaumont est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.Le village fut détruit en 1916 pendant la bataille de Verdun et ne fut pas reconstruit. Depuis, le site de la commune est devenu un lieu de souvenir inhabité.

1916 – 24 Juin promu officier adjoint au chef de bataillon et au grade de Capitaine à TD – Wylder (Nord)

5 ans
Le 14 mai, la division tout entière est embarquée et transportée dans la région Calais-Bergues. Le 102e cantonne à Coudekerque jusqu’au 14 juin; le 26 mai, le commandant DE LA POMÉLIE succède au commandant FLORENTIN. 

Le bataillon, jusqu’au 27 octobre, cantonne à Wylder, Roussbrugge, Pollinchove, Wœsten, Nordschoote, La Chaussée, Coulogne, ou tient le secteur de Mangelaere. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6344482h/texteBrut

1916 – 16 Janvier – Citation à l’ordre du corps d’armée – Croix de guerre 1914-18 Etoile de Vermeil

Ordre n°410 : « A brillamment enlevé sa compagnie pour la porter au devant d’une contre attaque ennemie dans la nuit du 9 au 10 janvier 1915 »

Etats de services

 
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6344482h/texteBrut
Le reste du mois d’octobre 1915, les mois de novembre et de décembre sont pour le I02e une période de repos dans ses cantonnements de Bavilliers et d’Héricourt, repos pendant lequel est poursuivie l’instruction des cadres et de la troupe, sous les ordres du chef de bataillon DENNERY. A cette période succède un séjour d’un mois à Pierrefontaine, pendant lequel sont exécutés des travaux de défense le long de la frontière suisse (25 décembre-28 janvier).

1915 – 18 Oct – Cité à l’ordre du Bataillon

Ordre N°26. « Très belle conduite au feu, blessé en enlevant son unité à l’assaut attaque de la tranchée des Tantes », Croix de Guerre 1914-1918 avec étoile de bronze

Les citations à l’ordre en tant que sources

Citer à l’ordre un poilu, qu’il s’agisse d’un homme du rang ou d’un officier général, signifie distinguer ses mérites, prononcer à son égard une « sanction positive »1. Concrètement, cette forme particulière de reconnaissance se matérialise sous la forme de petits textes décrivant les actes ou les attitudes récompensées et insérés dans des diplômes que les familles des récipiendaires conservent parfois encore précieusement. Les citations peuvent être, dans un ordre croissant de prestige, à l’ordre du régiment, de la brigade, de la division, du corps d’armée ou de l’armée et autorisent la plupart du temps le port de  la croix de guerre (avec étoile de bronze, d’argent ou de vermeil ou avec palme) et/ou de la médaille militaire, voire même de la Légion d’honneur.