1918 – 11 Juin – blessé par éclats de balle (non évacué)

Plaies de la face et des mains par éclats de balle.
Le 2 juin, il est embarqué à Belfort pour La Ferté-sousJouarre. Il cantonne le 4 à Rutel, Avers et Molien. Le 11 il est à Cernoy, puis au bois de Montigny, en réserve, le 12 à Coivrel, le 14 à Neuville-Roy, le 19 à Maignelay. 
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6344482h/texteBrut

1917 – 23 Octobre – blessé par éclat d’obus – rejoint les armées 15 Février 1918

26 ans
Blessé par éclat d’obus dans la fesse droite.

Le bataillon, jusqu’au 27 octobre, cantonne à Wylder, Roussbrugge, Pollinchove, Wœsten, Nordschoote, La Chaussée, Coulogne, ou tient le secteur de Mangelaere.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6344482h/texteBrut

1917 – 5 Février – Passé à l’artillerie speciale – WYLDER, nord

26 ans
https://fr.wikipedia.org/wiki/Artillerie_spéciale

L’artillerie spéciale (en abrégé AS) est l’arme blindée de l’armée française pendant la Première Guerre mondiale. Elle est l’ancêtre de l’actuelle arme blindée et cavalerie. Créée en 1916 à l’initiative de Jean Baptiste Eugène Estienne, le « père des chars », elle sera par la suite rebaptisée « artillerie d’assaut ».