Rapatrié et débarqué à Oran, Algerie le 24/10/1932
Arrivé au corps le 25/10/1932 et affecté à la CP2 (?)
Part en congé de 30 jours à la Ferté Sous Jouarre le 26/10/1932
Colonel Edmond Robert Lévêque et Marguerite Lévêque
La vie du Colonel Edmond Robert Lévêque et de Marguerite Lévêque
Arrivé au corps le 25/10/1932 et affecté à la CP2 (?)
Part en congé de 30 jours à la Ferté Sous Jouarre le 26/10/1932
Décret du 23.4.1931 J.O du 24.4.1931
L’ordre national de la Légion d’honneur est l’institution française qui, sous l’égide du grand chancelier et du grand maître, est chargée de décerner la plus haute décoration honorifique française. Instituée le 19 mai 1802 par le Premier consul de la République, Napoléon Bonaparte, elle récompense depuis ses origines les militaires comme les civils ayant rendu des « services éminents » à la Nation.
17 Avril 1926 au 18 juin 1930 -Maroc – 2e régiment étranger – 4,2 années
18 juin 1930 – En route vers le Tonkin – 1e régiment étranger
18 juin 1930 – 11 avril 1933 – Tonkin – Création du 5e régiment étranger – 2,8 années
23 mai 1939 – 28 juillet 1942 – Maroc – 3e régiment étranger – 3,18 années
Dates inconnues
La croix de guerre des Théâtres d’opérations extérieurs est une décoration française, conférée aux militaires et aux civils qui ont obtenu, pour fait de guerre, une ou plusieurs citations individuelles au cours d’opérations exécutées sur des théâtres d’opérations extérieurs depuis le 11 novembre 1918. Cette décoration peut également être remise aux unités ayant reçu une ou des citations dans les mêmes conditions.
Date inconnue
Cette médaille interalliée commémorative de la Première Guerre mondiale, dite « Médaille de la Victoire » a été créée par la loi du 20 juillet 1922.
Sont concernés par cette décoration tous les militaires ayant servi trois mois – consécutifs ou non – entre le 2 août 1914 et le 11 novembre 1918 dans la zone des armées, les infirmières et infirmiers civils, les étrangers (civils ou militaires) ayant servi directement sous les ordres du commandement français, les maréchaux et généraux ayant eu un commandement pendant trois mois au moins, les prisonniers de guerre ainsi que les Alsaciens-Lorrains engagés volontaires qui ont appartenu pendant une durée quelconque à une unité combattante et à ceux qui peuvent justifier avoir déserté les rangs allemands. L’article 10 de la loi de 1920 précise que : Le droit de la médaille est également acquis aux militaires qui ont été tués à l’ennemi ou qui sont morts des suites de blessure de guerre (…) et à ceux qui sont morts de maladies ou blessures contractées en service.