1920 – 21 juillet au 10/8/1921 Opérations contre les Bolcheviques

Molhowisk le 21/7/1920

Région de Brest Liwstock du 5/8 au 10/8/1921

Offensive contre les bolcheviques – Bataille de Varsovie du 15/6 au 30/8 1920

La bataille de Varsovie (août 1920), aussi connue sous le nom du « Miracle de la Vistule » (Cud nad Wisłą) fut la bataille décisive de la guerre russo-polonaise (1919-1920), qui débuta après la fin de la Première Guerre mondiale. Elle fut remportée par les troupes polonaises de Józef Piłsudski sur l’armée bolchevique commandée par Mikhaïl Toukhatchevski.

La France fut l’un des rares pays à soutenir la Pologne dans sa guerre contre les bolcheviques. Entre avril 1919 et octobre 1920, le général de brigade Paul Prosper Henrys dirigeait la mission militaire française en Pologne. Les Alliés voulaient même qu’il devienne le chef d’état-major de l’armée polonaise. Les Polonais étaient soutenus par le général Maxime Weygand, considéré aujourd’hui comme l’un des artisans de l’opération qui a consisté à arrêter l’avancée de l’Armée rouge. À ce titre, il a été récompensé des plus hautes distinctions polonaises mais a aussi été élevé au rang de citoyen d’honneur de la capitale polonaise, Varsovie.

https://www.lopinion.fr/international/la-bataille-de-varsovie-de-1920-une-cooperation-entre-la-pologne-et-la-france-determinante

1919 – 30 septembre – parti et radié du 321e RI (corps dissous)

28 ans
Mise à la disposition du comité Nationale Polonais à diriger sur Arches
Historique du 321e RI

Le Comité National Polonais fut créé pendant la Première Guerre mondiale afin de représenter les intérêts polonais auprès des pays Alliés de la Triple-Entente. Ce comité succéda à un premier Comité national polonais créé par Roman Dmowski en 1914 et composé alors des partis de droite et du centre1. La raison directe de sa constitution fut le renversement du tsar par la révolution russe de 1917. Lorsque, en août 1917, la Russie révolutionnaire fit défection à ses alliés et conclut une paix séparée avec l’Allemagne, la France laissa au Comité la direction de l’armée polonaise « autonome, alliée et belligérante » en formation en France (Armée Bleue du général Józef Haller) et la protection consulaire des citoyens polonais dans les pays alliés.

1919 – 28 juin Campagne de Galicie Orientale

La Galicie est une province de l’empire d’Autriche, formée en 1772 à partir des territoires polonais annexés lors du premier partage de la Pologne, et restée autrichienne jusqu’à la fin de la Première Guerre mondiale.

D’une superficie d’environ 78 000 km2, la Galicie est actuellement répartie entre la Pologne pour sa partie ouest autour de Cracovie, et l’Ukraine pour sa partie est autour de Lviv.

1918 – 13 Août – Intoxiqué par gaz au bois de berne

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6344482h/f14.item.r=102E%20BATAILLON%20DE%20CHASSEURS%20%C3%8…
Le 18 juillet a marqué la fin de l’offensive allemande, la première étape de la marche vers la victoire. Dès le 9 août, le bataillon participe à l’attaque, derriere le 401e R.I. et est assez éprouvé par le barrages ennemis. Le 11, il est dans les bois de la Houssoye où il reste jusqu’au 16, après plusieurs déplacements provoqués par des ordres d’attaque contremandés. Le 16, il gagne le chateau de Tilloloy. L’attaque est fixé au 18. A 4h30, malgré le feu de vingt mitrailleuses, les chasseurs se porte en avant. l’élan est brisé, mais courageusement, lentement, par infiltration, le village de Beuvraignes est définitivement occupé à 7h20. Le bataillon y reste jusqu’au 22 août.

1918 – 5 juillet – affecté au 321e Régiment d’infanterie – Montdidier, Somme

Le 321ᵉ régiment d’infanterie est un régiment d’infanterie de l’Armée de terre française constitué en 1914 avec les bataillons de réserve du 121ᵉ régiment d’infanterie. À la mobilisation, chaque régiment d’active créé un régiment de réserve dont le numéro est le sien plus 200. 

Bataille de Montdidier La prise de Beuvraignes : Depuis la oontre-offensivte du 18 juillet, sur les plateaux entre Ourcq et Aisne, la Bataille de France était «, renversée » et le Oénérail Foch, instruit de la fatigue de l’adversaire, n’entendait lui accorder ni trêve ni repos. Dans l’attaque de la 3e Armée française déchaînée à la Droite de l’Armée Debenley, et montée avec le plus grandi secret, le ;Régun|ettt (avait un rôle difficile : il devait atteindre et enlever Beuvraignes (le bastion légendaire implanté dans les anciennes lignes françaises, à travers une zone couturée de tranchées, traversée de réseaux de fils de fer, et offrant des chances incomparables.