Croix de guerre des Théâtres d’opérations extérieurs (T.O.E) avec Palme et 2 étoiles de vermeil

Dates inconnues

La croix de guerre des Théâtres d’opérations extérieurs est une décoration française, conférée aux militaires et aux civils qui ont obtenu, pour fait de guerre, une ou plusieurs citations individuelles au cours d’opérations exécutées sur des théâtres d’opérations extérieurs depuis le 11 novembre 1918. Cette décoration peut également être remise aux unités ayant reçu une ou des citations dans les mêmes conditions.

  • étoile de bronze pour une citation à l’ordre de la brigade, du régiment ou unité assimilée
    • étoile de vermeil pour une citation à l’ordre du corps d’armée 
  • palme de bronze en forme de branche de laurier pour une citation à l’ordre de l’armée.

Médaille Coloniale Agrafes  » Maroc  » et « Sahara » et « Etrangère »

Médaille Coloniale agrafé « Sahara » Brevet 456.572, décret du 28.6.1930 1.9.1930 5° Régiment ½ Brigade (nouvelle formation).

Médaille Coloniale agrafé « Étrangère » Brevet 434.925, décret du 29.6.1930 (agrafe manquante sur décoration originale »).

La médaille coloniale est une décoration française créée par l’article 75 de la loi de finances du 26 juillet 1893 pour récompenser « les services militaires dans les colonies, résultant de la participation à des opérations de guerre, dans une colonie ou un pays de protectorat ». Elle n’est plus décernée. Un décret du 6 juin 1962 a modifié l’appellation « coloniale » pour l’appellation « outre-mer ».

Malgré ses différents types de fabrication, la médaille coloniale est d’un modèle identique quelle que soit la campagne pour laquelle elle est attribuée. Seule l’agrafe qui vient se fixer sur le ruban, permet d’identifier la campagne qui a ouvert droit au port de la médaille. Exclusion faite de l’attribution sans agrafe.

1925 – 19 Janvier – Dirigé sur le Maroc et affecté au 15e Régiment de Tirailleurs – Affecté au commandement de la 7e compagnie.

Le 15e régiment de marche de tirailleurs algériens, est constitué fin novembre 1918 avec un seul bataillon de tirailleurs. Il est l’amalgame des trois bataillons du 288e R.I. qui formèrent les deux autres bataillons du régiment, la situation qui dura jusqu’à la fin de décembre date à laquelle le 15e RMTA reçut un millier de recrues indigènes. Il fut alors composé, au début de 1920, de trois bataillons. Il est basé au Maroc devient régiment autonome.
En 1925 à la bataille de l’Ouergha le 3e bataillon contient les assauts rifains.