1956 – 2 mars – Mention « Mort pour la France » sur l’acte de décès

NDLR: A la demande de Marguerite, l’inscription « Mort pour la France » fut rajouté sur l’acte de décès.

« Mort pour la France » est une mention honorifique posthume ajoutée à l’état civil d’une personne afin de reconnaître son sacrifice au service de la France. L’attribution de cette mention est régie par les articles L. 511-1 à L. 511-51 du Code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre.

1946 – 6 mai – Marguerite Lévêque – Certificate of Service signé du Général Montgomery

NDLR: Le réseau Alliance était un réseau d’information, destiné à préparer le débarquement en Normandie. Le réseau Alliance, fournissait ces informations aux services secrets britanniques MI6.

He (ndlr: Général Montgomery) was transferred out of Italy on 23 Dec 1943 for the upcoming cross-Channel invasion.
Upon his return to England, Montgomery was given the 21st Army Group which encompassed all Allied ground forces that would take part in Operation Overlord, the invasion of Normandie, France. He had wished for the responsibility of overall Allied command, but was unable to secure the position due to politics since the United States contributed greatly to the campaign in both men and materiel.

https://ww2db.com/person_bio.php?person_id=7

1946 – 6 mai – Certificate of Service signé du Général Montgomery

NDLR: Le réseau Alliance était un réseau d’information, destiné à préparer le débarquement en Normandie. Le réseau Alliance, fournissait ces informations aux services secrets britanniques MI6.

He (ndlr: Général Montgomery) was transferred out of Italy on 23 Dec 1943 for the upcoming cross-Channel invasion.
Upon his return to England, Montgomery was given the 21st Army Group which encompassed all Allied ground forces that would take part in Operation Overlord, the invasion of Normandie, France. He had wished for the responsibility of overall Allied command, but was unable to secure the position due to politics since the United States contributed greatly to the campaign in both men and materiel.

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1938 -17 août – Témoignage de satisfaction à l’ordre de la région- Officier instructeur

Extrait de l’Ordre général N°25 : « Officier instructeur dans les écoles de Perfectionnement a largement contribué par son zèle, sa compétence et par la qualité de son enseignement aux excellents résultats obtenus dans ces écoles pendant l’année d’instruction 1937-1938 »

1937 -Sans date – Témoignage de satisfaction – Officier instructeur

Extrait de l’Ordre général N°16 du général commandant la 11e région (Nantes): « Officier instructeur dans les écoles de Perfectionnement a largement contribué par son zèle, son dévouement et pour la qualité de son enseignement aux bons résultats obtenus dans ces écoles pendant l’année d’instruction 1936-1937 »

1934 -Sans date – Témoignage de satisfaction à l’ordre de la Division – Officier instructeur

Ordre général N°553, pour les écoles de perfectionnement en 1934: « Officier instructeur dans les écoles de Perfectionnement, a contribué par son zèle et dévouement aux bons résultats obtenus dans ces écoles pendant l’année d’instruction 1934-1935

1932 – 1 Septembre – Ordre général n°47 du général commandant supérieur des troupes de l’Indochine

Ordre général n°47 du général commandant supérieur des troupes de l’Indochine : « Officier supérieur adjoint au chef de Corps dont le zèle ne s’est jamais ralenti pendant les 2 années de séjour au Tonkin. A Assuré ses délicates et absorbantes fonctions au moment de la création du 5e Etranger à 4 Bataillons, suivi plus tard de se réduction à 3 Bataillons réclamait une attention et un effort particulier de la part des services dissous et créés. Dans ces diverses circonstances le Chef de Bataillon Lévêque s’est constamment montré pour son chef un collaborateur précieux et actif très à la hauteur de son emploi qu’il a tenu avec une remarquable compétence »

1930 – 31 janvier – Rentré à la P.C. (Poste de Commandement)

En congé de fin de campagne entre 2 séjours de 190 jours à passer à Amiens le 6.2.1930.

Embarqué à Casablanca le 8.2.1930

1930 – 21 janvier – Cité à l’ordre du Corps d’Armée Ordre Général N°9

« Brillant officier qui commande avec une rare distinction depuis plus de 4 ans une compagnie de Légion montée dont il obtient un rendement en tous points remarquables, a donné toute la mesure de ses belles qualités militaires au cours des missions multiples qui lui ont été confiés. Placé le 12 octobre 1929 à la tête d’un détachement important lancé à la recherche d’un gros djioh dans la région Sud Est d’Erfoud (NDLR : Maroc)  , a rapidement repris les traces et a pu au prix d’un effort inouï reprendre contact avec l’ennemi après avoir couvert sur la Harmmada désertique plus de 100 kms en 30 heures, s’est immédiatement engagé et a sauvé ainsi d’une perte certaines les derniers défenseurs du détachement Fioret qui allaient succomber et les blessés qui ont pu être secourus » Croix de guerre des TOE avec étoile de vermeil

Contexte: La CMA du 1er REI peu connue est toujours au Sud-Oranais. En octobre 1929, surveillant les confins algéro-marocains, un détachement de la CMA est furieusement attaquée par des bandes de Berbères à Djihani, au sud de Meridja (sa garnison dans la région de Béchar). Sur les 80 légionnaires de la compagnie, 52 seront tués et 8 blessés.

Compagnies Montées de la Légion étrangère

Les compagnies montées sont les compagnies d’infanterie de la Légion étrangère montées à mulets. La première compagnie montée de Légion est créée au Sud-Oranais en Algérie en 1881. La rôle de ces unités d’élite est d’augmenter la mobilité de l’infanterie en territoire hostile en évitant la fatigue des hommes. Elles participeront avec succès aux opérations de la conquête du Sud-Oranais et de la pacification du Maroc. Partiellement motorisées dans les années 1930, la dernière de ces compagnies montées est dissoute au Maroc fin 1949.

Pourquoi des mulets et non des chevaux ou des chameaux ? Parce que le mulet se déplace à une allure proche de celle du pas de l’homme, soit à une vitesse moyenne comprise entre 5 et 6 km/h. Il est aussi trop fort pour transporter les bagages des deux hommes et bien adapté au « pays de la soif ». En plus, le mulet se nourrit de 3 kg d’orge par jour, contre les 5 kg nécessaires au cheval. Le chameau, lui aussi, est trop fort et bien adapté aux régions chaudes et de sable. Mais, en comparaison avec le mulet, il n’est pas utilisable dans les djebels ou dans les hautes montagnes.

La compagnie montée peut marcher habituellement 10-15 heures par jour et parcourir entre 40 et 50 km. Mais, en cas d’urgence, elle peut conserver une marche quotidienne de 70-80 km pendant plusieurs jours.

Collection familiale

1922 – 20 février – Cité à l’ordre du Corps l’Armée N°70 T.O.E/CA Théatre d’Opérations Extérieures / Corps d’Armée

31 ans

« Le Capitaine Lévêque (Commandant à titre fictif) détaché provisoirement à la commission de contrôle interalliée dans les états Baltiques : Objet d’un attentat à la grenade en gare de Horchani puis quelques jours après en gare de Shavli (ndlr : Lituanie). Y a fait preuve du plus grand courage et d’un parfait mépris du danger ayant reçu par la suite mission d’accompagner un détachement russe à Dantzig, a témoigné de qualités d’intelligences et de crânerie au milieu de difficulté sans cesse renaissantes » Croix de guerre des T.O.E avec étoile de Vermeil.

1916 – 7 Novembre – Citation a l’ordre de la division – Croix de guerre 14-18 avec étoile d’argent

Ordre N°60
 » Sous un violant bombardement, est allé organiser sa compagnie quoi qu’ayant à traverser un terrain découvert. Blessé pendant cette opération. Croix de guerre 14-18 avec étoile d’argent » 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Croix_de_guerre_1914-1918_(France)

1916 – 16 Janvier – Citation à l’ordre du corps d’armée – Croix de guerre 1914-18 Etoile de Vermeil

Ordre n°410 : « A brillamment enlevé sa compagnie pour la porter au devant d’une contre attaque ennemie dans la nuit du 9 au 10 janvier 1915 »

Etats de services

 
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6344482h/texteBrut
Le reste du mois d’octobre 1915, les mois de novembre et de décembre sont pour le I02e une période de repos dans ses cantonnements de Bavilliers et d’Héricourt, repos pendant lequel est poursuivie l’instruction des cadres et de la troupe, sous les ordres du chef de bataillon DENNERY. A cette période succède un séjour d’un mois à Pierrefontaine, pendant lequel sont exécutés des travaux de défense le long de la frontière suisse (25 décembre-28 janvier).

1915 – 18 Oct – Cité à l’ordre du Bataillon

Ordre N°26. « Très belle conduite au feu, blessé en enlevant son unité à l’assaut attaque de la tranchée des Tantes », Croix de Guerre 1914-1918 avec étoile de bronze

Les citations à l’ordre en tant que sources

Citer à l’ordre un poilu, qu’il s’agisse d’un homme du rang ou d’un officier général, signifie distinguer ses mérites, prononcer à son égard une « sanction positive »1. Concrètement, cette forme particulière de reconnaissance se matérialise sous la forme de petits textes décrivant les actes ou les attitudes récompensées et insérés dans des diplômes que les familles des récipiendaires conservent parfois encore précieusement. Les citations peuvent être, dans un ordre croissant de prestige, à l’ordre du régiment, de la brigade, de la division, du corps d’armée ou de l’armée et autorisent la plupart du temps le port de  la croix de guerre (avec étoile de bronze, d’argent ou de vermeil ou avec palme) et/ou de la médaille militaire, voire même de la Légion d’honneur.


1915 – 15 Octobre – Croix de guerre 1914-1918 Etoile de Bronze

Ordre n°26 : « Très belle conduite au feu, blessé en enlevant son unité à l’assaut attaque de la tranchée des trouques « 
https://www.historial.fr/historial-de-la-grande-guerre/dates-cles/cartographie-des-lignes-de-front/

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Vidéo (d’un régiment de chasseurs à pied présent dans le même secteur) Juin-juillet 1915, prise d’arme avec le drapeau des chasseurs à pied après les offensives d’Artois :
– défilé des troupes à pied avec les mulets
– remises de décoration par le général d’Urbal après les combats de Souchez et de Carency : légion d’honneur aux officiers, médaille militaire aux sous-officiers et la croix de guerre à des soldats.
– panoramique des officiers de chasseurs à pied avant le passage du drapeau qui est confié à la garde d’un bataillon de chasseurs alpins (clairons, fanions visibles)